Vous êtes un restaurateur installé dans la Loire et souhaitez mettre en place le dispositif "Accords essentiels", contactez le Comité de la Loire au
Défi de janvier – Accords essentiels dans la Loire
Largement banalisé dans la culture française, l’alcool est le deuxième facteur de risque évitable de cancers en France, responsable chaque année de 28 000 nouveaux décès.
Alcool & santé
L'alcool joue notamment un rôle dans l’apparition des cancers du sein, du côlon et du rectum, de la bouche et du pharynx du foie, de l’œsophage ou encore de l'estomac.
Initié au Royaume-Uni, sous le nom de Dry January, le Défi De Janvier arrive à point nommé après les fêtes de fin d’année et offre la possibilité de poser quelques mots sur sa consommation personnelle. Pour y participer, la règle est simple : ne pas boire d’alcool du 1er janvier jusqu’à la fin du mois. Cette pause de début d’année permet de questionner sa consommation habituelle d’alcool et également de constater rapidement un bienfait considérable sur son état de santé :
- meilleure concentration,
- peau plus belle,
- regain d’énergie et de motivation,
- meilleure qualité de sommeil,
- perte ou stabilisation du poids
Accords essentiels
La Ligue contre le cancer encourage tout un chacun à se lancer dans le défi de janvier et, pour aller plus loin, invite les restaurateurs à proposer une alternative au fameux accord mets / vin, en mettant à l’honneur des accords mets / boissons sans alcool pendant au moins tout le mois de janvier.
Il s’agit de créer un équilibre des saveurs et des goûts entre le plat dégusté et la boisson sans alcool (jus, décoction, infusion…) qui l’accompagne. Offrir ce choix permet aux personnes ne souhaitant pas consommer d’alcool et aux publics les plus vulnérables (personnes malades du cancer, personnes sous traitement médicamenteux, femmes enceintes), d’apprécier un accord non alcoolique sublimant les plats du cuisinier.
Le projet « Accords Essentiels » permet alors de mettre en avant cette alternative et de la mettre en lumière. Le but n’est alors pas de faire une prohibition de la consommation d’alcool, mais bien d’offrir le choix.