La vérité...Rien que la vérité, toute la vérité.

Vous ne savez pas lire c'est tout...Et vous accusez qui plus est un déficit du raisonnement logique.
Votre réponse achoppe donc sur son propre effet de radicalité ( niveau cours de maternelle )

Le conseil dit que le tabac est un risque à éviter ( en clair ) donc , il ne se mouille pas..Prendre le bateau disait Rimbaud c'est savoir que l'on peu mourir, doit on le considérer comme une tentation du suicide ?

Vous n'avez pas de données sérieuses, c'est l'agressivité qui vous motive. Les cancers les plus fréquents désolé pour vous , ne sont pas attribué au tabac.

Vous ne savez absolument pas de quoi vous parler avec autant de force et d'ignorance. Ce truc est une mafia.

SANTÉ Les seuls facteurs de risque ne sont pas QUE le tabac et l’alcool

Par André CICOLELLA, Corinne LEPAGE, Geneviève BARBIER et François VEILLERETTE *

Nous sommes à l’évidence confrontés à un phénomène lourd qui ne pourra être stoppé dans le meilleur des cas qu’à échéance d’une ou plusieurs décennies. Cette croissance amène à s’interroger sur la pertinence de la stratégie de lutte contre le cancer mise en œuvre depuis plusieurs décennies et que l’on peut caractériser comme le tout-thérapeutique.

En 1971, le plan Nixon affirmait « Dans 20 ans, nous aurons vaincu le cancer » avec l’idée qu’une recherche systématique de molécules résoudrait le problème. L’échec est patent et la recherche d’autres pistes d’action s’avère nécessaire.

Les chiffres bruts de l’évolution en France entre 1980 et 2000 sont clairs ; sur les 63% d’augmentation, 25% sont dus au changement démographique mais 38% à des causes intrinsèques. Il est réducteur d’expliquer cela par les seuls facteurs de risque que sont tabac et alcool ou par l’augmentation du dépistage. Les cancers qui progressent le plus (prostate, mélanome, sein, thyroïde, lymphomes, cerveau) n’ont, en effet, pas de lien démontré avec ces facteurs de risque. Quant au dépistage, il n’existe aucune démonstration qu’il soit responsable de l’ensemble de la progression des cancers du sein ou de la prostate.

En revanche, des facteurs de risque environnementaux majeurs sont connus. L’amiante sera responsable de l’ordre de 100 000 morts et les cancers professionnels sont estimés à 20 000 morts par an. Les cancers du sein et de la prostate sont liés aux perturbateurs endocriniens. Les cancers du poumon sont liés au tabac mais aussi au radon (2 500 morts par an), à l’exposition professionnelle (24% des cas) et à la pollution urbaine.

[rouge]Les pesticides sont impliqués chez l’adulte dans les lymphomes non hodgkiniens, les cancers de la vessie, du pancréas et du rein, et chez l’enfant dans les leucémies et tumeurs du cerveau.

Dans quelques années, nous aurons 20% d’enfants obèses et on sait que l’obésité augmente le risque de cancers de l’utérus, du sein et de la prostate. S’il est nécessaire de continuer la recherche thérapeutique, il est donc nécessaire aussi de développer une action vigoureuse sur les facteurs de risque connus.

Le volet environnement professionnel du plan cancer ne peut se résumer à l’adoption de trois valeurs limites pour le benzène, les poussières de bois et les rayonnements ionisants alors qu’il existe 388 substances et procédés cancérogènes répertoriés par le Centre international de recherche contre le cancer. Un véritable volet cancer-environnement au sein du plan cancer s’impose si on veut atteindre l’objectif ambitieux affiché de réduction de 20% à échéance de 5 ans.

Cela suppose que les objectifs de réduction de l’exposition aux toxiques ne soient pas limités aux seuls facteurs tabac et alcool, mais aux substances cancérogènes répertoriées.

Je n'ai pas étudié la médecine pour que vous puissiez croire que je ne connais pas les risques de cancer liés à la pollution. Je n'ai pas non plus pratiqué plus de 30 ans la médecine du travail sans connaitre l'existence des cancers professionnels. Je sais aussi que pour les cancers professionnels surtout des poumons ou de la vessie les fumeurs en ont plus que les non fumeurs. Le comité d'éthique n'a pas écrit que le tabac était un risque à éviter mais était un risque évitable. Mes données sont largement aussi sérieuses que les vôtres. Mais moi peut être parce que je suis médecin et que je sais que la grande majorité des médecins sont des gens intègres je fais confiance à mon oncologue et donc je continue ma chimio même si je sais qu'au stade où j'en suis je n'ai aucune chance de guérison mais seulement une chance de stabilisation pour quelques années (1 ou plusieurs je ne sais pas). Le cancer que j'ai n'a aucun rapport avec le tabac pas plus d'ailleurs que le votre aussi je sais bien qu'il existe des cancers sans tabac.

Tous mes amis d'enfance sont morts... A peu prés 40. Ils travaillaient tous dans une usine qui fabriquait des plaquettes de freins. Ils sont tous morts dans des conditions horribles , ces plaquettes contenaient de l'amiante.J'ai eu la chance à l'époque d'aimer les voyages et la musique, j'ai gagné ma vie sur à la route avec ma guitare ensuite , j'ai fait autre chose.J'ai été épargné . Ma belle soeur est morte d'un cancer du sein ( non fumeuse ) elle vivait en zone de culture intensive. Une amie non fumeuse est morte à 45 ans cancer colon non fumeuse , elle mangeait à la cantine. Un ami est mort cancer du poumon non fumeur, il travaillait a partir d'une colle qui contenait du curare....J'ai des exemples par centaines , tout est dissimulation, toute est manipulation, tout est mafia...Les statines actuellement tuent plus que la guerre. Le Tahor vendu massivement par les médecins digne de la mafia à rapporté des milliards de dollars , j'en reste là tout est pourri dans ce système .

Peut être parce que je vis dans une région moins polluée que la votre la grande majorité de mes amis sont encore en vie de même que mes frères et sœurs. Et non tout n'est pas pourri dans le système. Le tabac n'a aucune influence sur le cancer du colon. de plus il n'y a pas à proximité d'usine utilisant de l'amiante ni d'agriculture intensive. Qu'appelez vous avoir été épargné? Je croyais que vous aviez eu un cancer du colon.

Tout est empoisonné c’est clair et peu importe où vous vivez, ce n’est qu’une question de doses et d’exposition. Il y à des perturbateurs endocriniens jusque sur la banquise où les sommets du Kilimanjaro , c’est pas compliqué ..Ca voyage tout ça. Et ces fameux médecins qui vous disent de ne pas fumer sont les premiers à en mourir avant vous , juste retour des choses puisque ces gens croient tout ce que des laboratoires racontent.

j'ai été épargné par l'amiante, mon cancer du colon c'était les nitrites et les sulfites, le problème est réglé

Malheureusement comme vous l'avez peut-être constaté beaucoup des médecins qui vous disent d’arrêter de fumer reconnaissent qu'ils n'y arrivent pas eux-mêmes et que c'est très difficile avec le stress lié à leur métier et certains d'entre eux ont des pathologies dues au tabac (cancer mais aussi accidents vasculaires cérébraux ou infarctus ) et une partie d'entre eux en meurent. Chacun prend les risques qu'il accepte (mauvaise alimentation, sports extrêmes, abus de médicaments, drogue tabac etc... Mais le rôle du médecin reste d'inciter les gens à avoir une bonne hygiène de vie. C'est ce que nous faisons régulièrement mêmes ceux qui fument ou ceux qui ont un problème avec leur consommation d'alcool.

le rôle des soignants c'est de connaitre à minima les toxicomanies, et de ne pas priver à l'hôpital des patients de leurs béquilles..C'est de la barbarie .

De prévenir que la nourriture est un poison et d'agir pour que l'hôpital servent ces poisons à pleines assistes .

J'ai une boite mail si vous voulez continuer le dialogue

alibigood4@gmail.com

Je ne souhaite pas continuer ce dialogue car je vois bien que je ne vous convaincrais pas. Je ne sais pas quelles mauvaises expériences vous avez eu avec 1 ou plusieurs médecins pour être aussi hostile aux médecins. Je sais que parmi les médecins il en existe des bons et des mauvais mais cela existe me semble-t-il dans tous les métiers dans toutes les associations et partout convient il alors de généraliser à toute la population c'est la question que je me pose. Inutile de me répondre car je ne veux plus m'encombrer la tête déjà bien encombrée par la maladie de réflexions philosophiques. Je préfère continuer à me consacrer sur ce forum à répondre à ceux à qui mon expérience peut être utile.

pas grave la vérité est maintenant connue..Vous n'êtes de toute façon d'aucune utilité.

L'utilité c'est moi...