Bonjour,
RDV confirmé pour le 06/03/2017
On verra bien.
Entre-temps, hier 5ème cure chimio et l'oncologue est "pressé d'ouvrir" : il pense à une chirurgie où interviendraient en parallèle le gastro et le chir vasculaire
Il craint une atteinte du foie.
Bonjour !
Longue absence.
La patiente va relativement bien.
13ème séance de chimio.
1ère évaluation : régression de la tumeur de 20% mais toujours impossible d'opérer.
Ma question : c'est l'été, il fait déjà > 35°C à l'ombre et le pire est que la maison est super chaude car plein Sud.
La querelle : j'étouffe mais la patiente ne me laisse pas mettre en marche la clim. D'après elle, il est proscrit pour les gens sous chimio.
Je comprends qu'il est dangereux qu'elle s'enrhume ou qu'elle "chope" une infection qui affaiblirait plus encore ses défenses immunitaires.
Mais ne peut-on pas "climatiser" à température douce (23-24 °C) surtout que l'air frais ne "tape" pas directement
Merci par avance. Je suis sur le point de passer mes nuits dans l'auto !!
Bonjour,
Je ne connais pas de contre-indication formelle à la climatisation pour un patient suivant une chimiothérapie. Je dirai que c'est surtout une affaire de bon sens : la climatisation sera sans doute bénéfique si elle est en bon état (filtres entretenus) pour lutter contre une température excessive, qui peut être source d'inconfort et susceptible d'entraîner une déshydratation.
Bien cordialement
Dr A.Marceau
Merci Docteur pour votre réponse.
Le "hic" est que "la résidente" qui prend en charge mon épouse n'est pas du même avis.
Elle prétend que le froid pourrait provoquer des réactions négatives dues aux produits administrés.
Franchement, c'est en dépit du bon sens.
Il ne s'agit évidemment pas d'exposer la patiente au froid mais à une température adaptée, de l'orde de 22° !
Bien cordialement
Dr A.Marceau
[rires !!] Ma femme panique dès que la température à la maison descend en dessous de 27°C. Allez lui faire entendre raison !
D'ailleurs, elle a besoin d'un suivi psychologique qu'elle s'obstine à refuser.
Franchement, c'est "USANT" ! Et pour notre fille et pour moi-même.
Je lui ai montrée votre première réponse et, bien sûr, elle "vous" contredit.
Difficile de gérer un malade qui est de plus psychiatriquement instable.
Merci encore pour votre disponibilité.
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Bonjour à toutes et à tous.
On passe sa vie à penser que "ça n'arrive qu'aux autres" et hier le "coup de tonnerre", "le Tsunami" ! Ma femme qui se plaint depuis quelques semaines de douleurs abdominales, qui a perdu l'appétit a découvert hier soir qu'elle avait une tumeur au pancréas. Pour le moment, elle en est au stade des explorations, des bilans, des scanners... Je vous passe son état psychologique : elle est effondrée (nous le sommes tous d'ailleurs, c'est si brutal !)
Dans mon pays, la prise en charge médicale n'est pas des très efficaces pour ne pas dire inexistante.
Nous avons quelques économies et je pense l'emmener en France ou en Belgique pour se faire soigner.
Ne roulant pas sur l'or, n'ayant aucun moyen de faire prendre en charge la mère de notre fille de 13 ans, je vous avoue que je suis "perdu" !
Afin de commencer rapidement à prendre mes dispositions, j'aurais souhaité avoir un ordre de grandeur du coût d'un traitement du cancer de mon épouse - disons scénario : en interne, hospitalisée avec acte(s) chirurgical(aux) et chimio et 2ème scénario : ambulatoire.
Un ordre de grandeur des prix dans un hôpital (Parisien de préférence, j'aurais au moins où loger) et une fourchette du prix global, du moins et au moins jusqu'à ce qu'elle soit "sortie d'affaire" et que les soins qui suivraient pourraient se faire chez nous.
Toutes vos réponses sont les bienvenues et plus vous me donneriez de détails, mieux je saurais me préparer.
Merci à toutes et à tous ! Et meilleure santé à tous ceux qui souffrent.
Cordialement.
Tarek d'Alger.