dix mois dejas souvenir de MARIE-VALENTINE

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luc R

TU SAIS MAMAN MARIE-VALENTINE, TU NOUS MANQUERAS TOUJOURS CAR NOUS N'AVONS PAS EU LE TEMPS DE BIEN NOUS CONNAITRE ; MAIS UN PEU DE TEMPS POUR TE DIRE NOTRE AFFECTION POUR TOI MAMAN COURAGE ET AUJOURD'HUI CE 26 DU MOIS CELA FAIT DIX MOIS. . JE TE DÉDIE CE POÈME , AINSI QUE POUR TOUTES LES MAMANS " ABSENTES "

UN PETIT POÈME POUR MAMAN COURAGE MARIE-VALENTINE

Si tu savais...
La douleur de te voir partir
De te voir ainsi sans pouvoir rien faire, rien dire.
Si tu savais...
Tout ce que tu m'inspires
Tous ces beaux sourires
Quel bel ange tu fais.
Si tu savais...
Tout ce que les gens manquent de ne pas te connaître
Ils donneraient leur vie pour ne pas te perdre
Quelle BELLE MAMAN tu était .
Si tu savais...
Le manque que tu as laisser dans mon cœur d'enfant
Je t'aime tellement douce maman
Quelle belle maman, tu fais.
Douce maman, tu nous as demandé tout au long de ce voyage de ne pas pleurer
Tout ce que tu voulais, c'est de pouvoir enfin naviguer
Je crois que pour toi, c'est réussi
Et que ton bateau vogue jusqu'au paradis.
Douce maman, transmets ta joie de vivre à nous, tes marins
Que ton courage nous submerge et ce, sans fin.
Que ton rire nous pousse à une vitesse incroyable
Pour que le vent te guide dans un pays formidable.
Douce maman, chaque capitaine a son étoile
Et, dans ton cas, la tienne est la plus brillante
Car avec toutes les tempêtes que tu as surmontées sans voile
Elle ne peut faire autrement qu'être étincelante.
Douce maman, cela fait maintenant dix mois aujourd'hui que tu es partir
C’est maintenant ou jamais de te dire combien je t'aime
Mais cette fois, j'éprouve beaucoup de difficulté à cacher ma peine
Je vais continuer à te vivre à travers mes chansons et mes poèmes
N'oublie jamais que tu es une vedette à ma façon.
Je t'aime et t'aimerai toujours. maman courage ( TES ENFANTS ) Anne-Marie et Luc

......................

de Marie

SI TU M’AIMES

Ne pleures pas si tu m’aimes.
Si tu pouvais d’ici entendre le chant des Anges et me voir au milieu d’eux.
Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux les horizons et les champs éternels,
les nouveaux sentiers où je marche !
Si, un instant, tu pouvais contempler comme moi la Beauté devant laquelle toutes les beautés pâlissent.
Quoi, tu m’as vu, tu m’as aimé dans le pays des ombres et tu ne pourrait ni me revoir,
ni m’aimer dans le pays des immuables réalités !

Crois-moi quand la mort viendra briser tes liens comme elle a brisé ceux qui m’enchaînaient et,
quand un jour que Dieu connaît et qu’il a fixé, ton âme viendra dans le Ciel où l’a précédé la mienne,
ce jour là tu me reverras, tu retrouveras mon affection épurée.
A Dieu ne plaise qu’entrant dans une vie plus heureuse, infidèle aux souvenirs
et aux vraies joies de mon autre vie, je sois devenu moins aimant.
Tu me reverras donc, transfiguré dans l’extase et le bonheur non plus attendant la mort,
mais avançant d’instant en instant avec toi dans les sentiers nouveaux de la lumière et de la Vie.
Essuie tes larmes et ne pleure plus si tu m’ aimes

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