Bonsoir Dominique,
J'espère que vous aurez des témoignages sur ce Forum.
Je peux simplement vous dire que la situation que vous connaissez n'est pas exceptionnelle : il arrive en effet que les localisations secondaires soient diagnostiquées avant la lésion primaire. Pour autant, le traitement va très certainement être actif sur les lésions secondaires comme sur la lésion primaire.
Bien cordialement
Dr A.Marceau
est il rare d'avoir des lésions secondaires cancéreuses avec primitif inconnu et cela se soigne t il ?
Bonjour, je vous remercie Dina et je vais noter cet email, nous avons rendez vous avec l'oncologue le 9 janvier, je verrais à ce moment là si j'ai des interrogations nouvelles.
Amicalement, Dominique
Bonsoir, on a découvert après analyses et hospitalisation, chez mon mari âgé de 63 ans, mi juin et du jour au lendemain, suite à une grande fatigue, une perte d'appétit et un amaigrissement, et une carence en sodium, des lésions secondaires cancéreuses au foie, ainsi qu'au rachis lombaires et à 2 ou 3 côtes. Une biopsie a été pratiquée au foie, et le verdict est tombé, lésions cancéreuses secondaires (adécarcinome exactement) de primitif inconnu, malgré échographie, scanner et scintigraphie osseuse, début janvier on ne sait toujours pas ou est "la souche". Il a commencé mi juillet la chimiothérapie qui donnait de bons résultats jusque fin octobre, puis une récidive dans les marqueurs tumauraux a nécessité un 2ème protocole de soins de chimiothérapie cette fois une semaine par mois en hospitalisation, au lieu de 2 matinées tous les 15 jours en ambulatoire. Il est complètement chiffon, ne fait que dormir, ne mange presque pas et est épuisé. Je m'inquiète beaucoup de ne pas savoir d'où viennent ces tumeurs et s'il est très important de trouver pour espérer une guérison.
Je voudrais savoir si des personnes ont connu la même chose et comment elles ont vécu cela. J'aide mon mari du mieux que je peux en étant présente, je gère son dossier, ses médicaments, examens etc. J'essaie de lui faire mener une vie aussi normale que possible, et nous sommes bien entourés par nos enfants, des proches de la famille et des amis.
Une bonne équipe médicale qui le suit également, je me dis qu"avec tout cela on pourrait espérer tenir la solution, mais parfois je doute, j'angoisse, mais c'est furtif, et de suite je me gendarme pour reprendre le dessus et l'aider au mieux.
Merci à ceux qui voudront bien en parler avec moi.
Dominique