Plus le temps passe,

Bonsoir Lainie,

Votre message me fend le coeur. Je ressens tellement votre chagrin, votre peine, malgré tous vos efforts, mais quatre mois, ce n'est rien après la disparition de votre époux.

Je dis souvent que le décès c'est dur, bien évidemment, mais que ce n'est pas le pire, le pire pour moi, c'est l'absence : c'est terrible. Toutes ces premières fois sans l'être aimé, tous ces jours qui n'en finissent pas, tout ce temps qui nous semble tellement inutile. On a tellement l'impression de ne plus servir à rien, on a tellement l'impression qu'on n'y arrivera pas...

Sans doute les fêtes de Noël n'arrangent-elles rien à votre situation. Ces jours de joie (pour les autres) qui arrivent rendent les choses beaucoup plus difficiles quand notre coeur est lourd. Ceux qui manquent, manquent encore plus ces jours là.

Je ne peux que vous envoyer mes amicales pensées, vous dire, mais vous le savez, que le temps est un grand guérisseur et que lorsque les beaux jours vont revenir, votre peine va s'atténuer, que les choses se mettront en place et que vous pourrez à nouveau faire des projets.

Mes voeux vous accompagnent.

Bonsoir souricette, merci pour votre gentil message, je  sais pourquoi cela a ete dur aujourd'hui, nous avions une réunion de famille, et la, l absence est tellement difficile, et je sais que les fêtes ne seront plus comme avant, je m efforcerai  d etre joyeuse ce jour la, mais je sais qu au fond de moi mon coeur sera rempli de tristesse, oui le temps fera son oeuvre, je l espere, le chemin est encore long. 

Bonsoir Lainie ,

On sait tous que 4 mois c'était hier et avec l'approche des fêtes de noël on ne peut que comprendre votre tristesse alors moi je vais vous faire la même réponse qu'a patrick qui lui a perdu son épouse et vous dire que le temps atténuera votre tristesse enfin je vous le souhaite car malheureusement on  sait que certaine personne on vraiment beaucoup de mal a continuer leur route sans l'être cher ...

Bon courage a vous ...

Bonsoir rob, merci pour votre réponse, je me sentie tellement impuissante pendant sa maladie, j aurai voulu que les traitements agissent, cette maladie est cruelle, mon mari était quelqu un de tres fort, pourtant j ai vu les larmes dans ses yeux. Pour lui je vais retrouver la force qu il nous a fallu pendant la maladie. Comme vous, nous sommes bretons, exiles pendant plusieurs années en region parisienne, il repose en sa bretagne  qu il aimait tant.