Bonjour,
Tant que le taux de PSA est inférieur à 0,1 ng/ml, il n'y a effectivement pas lieu de s'alarmer.
Cordialement
Dr Marceau
Bonjour,
Tant que le taux de PSA est inférieur à 0,1 ng/ml, il n'y a effectivement pas lieu de s'alarmer.
Cordialement
Dr Marceau
Bonjour, mon mari a eu une consultation avec son urologue qui lui a confirmé que on ne ferait rien jusqu'à 0.2ng/ml. Surveillance tous les 3 mois. Par contre il lui a parlé de chimiothérapie si le seuil était atteint. Je ne comprends pas je pensais que ce serait de la radiothérapie ou de l'hormonothérapie. Est ce que la chimio c'est comme l'hormonothéraPIE,
Bonjour,
Ce seuil de 0,2 ng/ml est assez classique. Quant à la décision de traiter par chimiothérapie ou par association radiothérapie-hormonothérapie, il n'y a que votre urologue qui peut la justifier. Un second avis auprès d'un autre urologue peut néanmoins être demandé.
Cordialement
Dr Marceau
Bonjour, mon compagnon est dans une situation similaire, Son médecin a le même discours .
Bonjour, je reviens vers vous... mon mari vient d'avoir le résultat de son taux de PSA qui a encore augmenté, il est passé de 0.08 à 0.09. L'urologue a beau nous dire qu'il ne ferait rien avant 0.2, cela nous inquiète car on se dit que cela ne peut qu'augmenter! pourquoi ne peut-on intervenir avant que le taux soit à 0.2? Notre médecin généraliste nous dit que même s'il passait une scintigraphie on ne verrait rien tant que le taux est si faible. Mon mari craint qu'après il ne soit trop tard pour intervenir efficacement, comment le rassurer un maximum.... je me sens un peu démunie...
Bonjour,
Il est habituel de ne rien faire tant que le taux de PSA n'a pas franchi le seuil de 0,2 ng/ml. Si ce seuil est retenu, c'est parce qu'on estime que le bénéfice d'une radiothérapie dite de rattrapage n'est réel qu'à partir de ce seuil et qu'il n'ya pas d'avantage à intervenir plus tôt.
Cordialement
Dr Marceau
Merci beaucoup pour votre réponse Docteur
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Bonjour, mon mari a eu une prostectatomie radicale en mai 2019. Depuis son taux de PSA était inférieur à 0.030ng/ml puis en 2022 il est passé à 0.040, puis en août 2023 à 0.050, puis en novembre 2023 à 0.070, en février 2024 0.070 et en mai 2024 0.080. En février son urologue a dit à son généraliste que cela n'était pas inquiétant ni significatif. Cependant cette augmentation nous inquiète. Cela signifie t-il qu'il peut y avoir une récidive qui nécessiterait un traitement ? Je vous précise que depuis cette opétation mon mari a toujours gardé des fuites urinaires. Merci pour vos réponses