Bonjour,
Il est difficile de commenter un propos aussi sévère sans connaître précisément le contexte qui l'a motivé.
Pour les internautes qui nous lisent sur ce forum, je rappelle que les frottis classés ASC-US sont des frottis dont la lecture n'est pas univoque. Statistiquement, on sait que dans environ la moitié des cas, les atypies observées vont régresser et que le contexte est donc strictement bénin. Mais dans quelques cas, l'évolution se fait vers la malignité, c'est pourquoi les recommandations en cas de frottis ASC-US sont soit colposcopie d’emblée, soit frottis de contrôle 6 mois plus tard, soit
recherche d’HPV potentiellement oncogènes (HPV 16 et 18 notamment). Et je suis convaincu que la très grande majorité des gynécologues suit ces recommandations.
Cordialement
Dr A.Marceau
Cancer du col de l'utérus : les gynécologues sont des assassins
Des assassins ??? c'est fort !!
je pense surtout que ces examens doivent être coûteux et qu'ils ne peuvent pas les prescrire comme une simple prise de sang !
ma femme c etais encore pire en fait son frotis mettais en evidence un debut de cancer et nous n avais pas été avertis celules épithéliale de haut grade ces dire!!!! en fait cette .... de femme n est autre que la chef de service hopital de montluçon 03100 pour ne pas la cité j ai les preuve en main !!! elle a deja il parait de nombreux procés !!! ma femme n a pas voulu lui en faire un car beaucoup trop faibe
ma femme est en train de mourir alors vous voyez ou j en suis!!! elle s est battus et se bat encore!!!
bon courage
pour moi ce sont des assassins en effet !!
pas tous mais beaucoup !! examens couteux et qui mette en evidence un cancer et celui ci n est pas avertis super!!!
Les gynécologues sont directement responsables de la non prescription de radiographies ou d'échographies pelviennes après anamnèse de principe auprès de leurs patientes. Lorsque les frottis vaginaux ou cervicaux sont notés ASC-US, il est urgent de prescrire immédiatement une recherche HPV 16 et 18 et de procéder à une radiographie de principe. Les conditions de vie des patientes atteintes d'un cancer avancé du col de l'utérus sont tellement atroces et abominables que des décisions urgentes de santé publique doivent être prises en obligeant également les gynécologues à parfaire leurs connaissances en gynécologie et tout particulièrement en cancérologie gynécologique. Que les gynécologues aillent faire quelques stages dans les services de soins palliatifs où des infirmières admirables gèrent comme elles le peuvent la barbarie et le terrorisme des interminables souffrances paroxystiques qui précèdent l'agonie des patientes atteintes d'une telle pathologie.