Bonjour,
Vous avez subi déjà bon nombre d'examens et aucun n'a révélé de lésion suspecte. Je pense qu'il faut faire confiance en vos médecins et rester simplement sous surveillance, en voyant régulièrement votre gynécologue (selon le rythme qu'elle vous fixera).
Bien cordialement
Dr A.Marceau
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Bonjour docteur,
Je vous écris en toute connaissance que ce forum n’est pas adapté pour un diagnostic médical. Je ne sais plus trop comment agir.
En avril 2020, une douleur est apparue dans mon sein gauche. Il était très sensible et je ressentais comme des coups d’aiguille en profondeur, des fourmillements aussi. J’ai vu mon médecin traitant qui m’a prescrit une échographie vu mon âge (37 ans) mais ayant des antécédents dans la branche maternelle (mère, grand-mère), pas de prise de risque. Elle a senti à ce moment une partie dure mais comme j’allaitais et ce depuis plusieurs années c’était simplement par précaution. RAS a l’échographie ni kyste ni autre. Tout le monde est rassuré mais cette douleur persiste. J’arrête d’allaiter sur ce sein mais rien n’y fait, des lombalgies viennent s’ajouter. La douleur irradie dans mon bras et parfois un point à l’arrière en haut du dos. En octobre nouvelle échographie, rien de diagnostiqué. La radiologue me préconise malgré tout une mammographie que je réalise en décembre avec une nouvelle échographie. Une remarque une légère désorganisation architecturale post chirurgicale (lifting mammaire et réduction à gauche). Après avoir incriminé l’allaitement min médecin me dit que c’est lié à mon opération d’il y a 8 ans. En septembre j’avais vu ma gynécologue qui n’était pas alarmée non plus par ces douleurs. Plus que douleur c’est une gêne, une pesanteur, une sensation de quelque chose à l’intérieur, des coups d’aiguille qui irradient sous l’aisselle. Ce n’est pas lié à mon cycle, c’est permanent et cela fait donc 10 mois que cela dure. Mon médecin ne souhaite plus investiguer. Mais j’ai peur que l’imagerie n’ait pas permis de repérer quelque chose en développement (je sais par exemple que les cancers lobulaires sont difficiles à diagnostiquer). Dois je me ranger à l’avis des médecins ou insister et demander une IRM ?
Merci pour votre lecture
Cordialement