Bonjour,
Vous pourriez prendre contact avec un psycho-oncologue afin de discuter avec lui de certaines questions que vous vous posez.
Concernant l'éjaculation, qu'il s'agisse de la retarder ou pas ou encore de ses fréquences, aucun lien prouvé n'a jamais été établi avec le cancer, qu'il soit des testicules ou de la prostate.
Bien cordialement
Dr A.Marceau
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Bonjour,
Je vous (re)contacte car je suis en pleine période de reconstruction suite à l'annonce de ma rémission.
Tout est engagé pour tourner la page, aller de l'avant et j'encourage chacun sur ce forum à démarrer cette "seconde" vie dès que l'on apprend que l'on en a qu'une.
Il me reste toutefois de suivre un travail autour de cette douloureuse parenthèse de ma vie d'homme.
Je m'interroge aujourd'hui sur l'absence de réaction de ma part sur le fait que la grosseur décelée à temps bien que tardivement n'ait pas pu m'éviter le protocole classique pour œuvrer à la guérison (désintérêt du moi ? cerveau pris dans les tourments de la vie quotidienne ?)
Selon la nature des tumeurs, est-ce que la recherche est en mesure de publier les périodes durant lesquelles le testicule prend un volume anormal ? Je cherche des réponses sûrement à de mauvaises questions ? A quand remonte le "top départ" ?
Autre question plus personnelle et que j'ouvre publiquement car certains pourront se reconnaître : Est-ce que retenir l'éjaculation dans le mécanisme de la masturbation peut être un lien de causalité ?
Merci pour vos réponses,