Bonsoir Sandrine,
Trois semaines, c'est très encore tôt. Tout le monde est sous le choc à l'annonce de la maladie, Tout va très vite, traitement, RDV, On se pose plein de questions.
Il vous faut du temps, ainsi qu'a votre papa,
Pour les groupes de soutiens, il faut qu'il soit prêt.
Perso, j'ai attendu pratiquement 1 an pour voir 1 psy. C'est mon chirurgien qui a insister pour que j'y aille. Il y a des personnes qui ne veulent pas y aller.
Pour votre papa, chimio, radiothérapie, il va être fatigué.
Soyez là, sans l'étouffer, pour ne pas qu'il ne s'inquiète plus qu'il ne le faut.
Ce n'est pas facile, je suis passée par là, on parlait de tout et de rien, mais pas de maladie, je pense que les hommes ont plus de mal a en parler.
Surtout avec leurs enfants.
Je vous souhaite beaucoup de courage pour la suite.
Amicalement.
besoin de parler
bonjour Sandrine, juste être vous même celle que votre papa connait. Je sais ce n'est pas facile ,la peur, la peine ,l'angoisse des lendemains tout s'emmêle, mais petit à petit tout va s'apaiser. Certes il y aura des moments durs pour votre papa, la fatigue , les traitements qui transforment nos malades mais dans son coeur il est toujours le même et ce dont il a besoin de votre part à tous c'est d'amour et d'attention comme dit Joelle ne pas l'étouffer juste être à son écoute. Si vous avez besoin d'écoute et de soutien revenez nous voir , le forum est là pour ça. Tendrement
Bonjour Sandrine , je suis du même avis que Joëlle et Mamie , il faut rester vous même . Une présence trop appuyée peut faire penser à une gravité plus grande et du coup le moral peut s'en ressentir . C'est déjà difficile de basculer dans ce combat du jour au lendemain et il faut que lui aussi trouve ses marques . Il sera fatigéu certains jours mais une présence un calin un sourire de votre part suffitont à l'apaiser . Les messieurs ont plus de mal à exprimer leurs angoisses et ont tendance à se replier sur eux mêmes , donc il faut garder le plus possible la vie <<normale >> en dehors des épisodes de soins . Vous allez trouver votre place à côté de lui dès que vous même aurez surmonté la nouvelle .Nous sommes la . Mél .
Bonsoir
Je comprends votre désarrois ,quand on nous annonce que vous avez un cancer on prends une calotte ,et après il faut se reprendre et foncer en gardant espoir toujours garder espoir ça aide ,mon fils était condamné et bien on a gardé espoir on se voilait la face et alors il nous vu toujours avec le sourire et on a aucun regret.............
Vous pouvez être déçu du comportement de l'entourage car le cancer fait peur encore aujourd'hui..................
Faites vous aider par un psy surtout pour les conseils et les explications vis à vis du comportement du malade car parfois on est un peu perdu ,mais tout s'explique (la ligue finance les visites chez le psy merci la ligue pour ce que vous faites pour les malades et leur entourage)
Nous avons vécu presque la même situation que vous ,nous c'était ses sœurs qui pouvaient pas venir le voir enceinte pendant sa maladie (5 ans )
Vos vie continuez presque comme avant pour vos enfants et conjoints les enfants ressentent tout même enceinte alors protégez vous ................
Courage et espoir à toute la famille
Amitiés
AV
Bonsoir il y a 3semaines les médecins ont découvert une tumeur au cerveau cancereuse a mon papa. Cest horrible a entendre. De se dire que les docteurs ne peuvent operer. Ce fut pour moi le plus dur a entendre. Mon papa a commencé la chimio sous cachets. Il doit commencer dans 2semaines la radiothérapie. Cest un énorme choc pour nous tous. Il était tres actif et était en congés juste avant d'être enfin a la retraite et profiter pleinement de ses petits enfants. Ma soeur attends son second.
Mon papa semble déprimé. Je ne sais pas quoi faire. Je suis impuissante et ca me rend tres triste. Dous je lui parler des groupes de soutien?
Ma maman tient presque le coup ce nest pas facile de voir son aimé etre diminue.
Nous avons nos vies a côté et cest terrible de ne pas savoir quoi faire pour etre là.
Merci de m'avoir lue et si vous pouviez me donner des pistes je suis preneuse.