Je me demande si on cherche vraiment à prévenir la survenue de cancer. À lire les conseils de prévention, je ne constate :
1° en prévention primaire, que des conseils de vie et d'alimentation,
2° en prévention secondaire, qu'un dépistage, dans une population en bonne santé, des porteurs de symptômes latents et ne visant qu'à abaisser la mortalité,
3° en prévention tertiaire, que les malades doivent abandonner les comportements à risque.
J'ai eu de la chance avec mon cancer du côlon, mais j'aurais préféré que l'on me propose avant la première cellule mutante un traitement visant à interdire toute mutation de quelque origine que ce soit.
En creusant la question, je vois que la médecine peut le faire autrement qu'avec de bons conseils. Le serment d'Hippocrate ne devrait pas n'être qu'une boutade de remise de diplôme.
À l'âge adulte, le moyen d'interdire le cancer et ses métastases existe par suppression de l'hormone de croissance, ce qui est prouvé par de nombreux scientifiques. Donc, je pose la question: qu'attend-t-on pour l'utiliser ?
J'ai demandé un rdv au centre Léon Bérard de Lyon pour obtenir un flash gamma hypophysaire de prévention. Réponse:" on n'a jamais fait ça, voyez avec votre médecin traitant ".
Je ne cite pas le nom de l'oncologue concerné bien enfermé dans le système. Un ami gynéco m'a confirmé le verrouillage.
Un grand Docteur, Laurent Schwartz, a dit " le cancer est une maladie simple du métabolisme et pas du génome "
Pourquoi s'acharner sciemment dans la mauvaise direction ?
Faudra-t-il porter plainte devant les tribunaux pour obtenir le traitement que nous voulons et pas les chimios et irradiations qu'on nous impose ?
Je me demande si on cherche vraiment à prévenir la survenue de cancer. À lire les conseils de prévention, je ne constate :
1° en prévention primaire, que des conseils de vie et d'alimentation,
2° en prévention secondaire, qu'un dépistage, dans une population en bonne santé, des porteurs de symptômes latents et ne visant qu'à abaisser la mortalité,
3° en prévention tertiaire, que les malades doivent abandonner les comportements à risque.
J'ai eu de la chance avec mon cancer du côlon, mais j'aurais préféré que l'on me propose avant la première cellule mutante un traitement visant à interdire toute mutation de quelque origine que ce soit.
En creusant la question, je vois que la médecine peut le faire autrement qu'avec de bons conseils. Le serment d'Hippocrate ne devrait pas n'être qu'une boutade de remise de diplôme.
À l'âge adulte, le moyen d'interdire le cancer et ses métastases existe par suppression de l'hormone de croissance, ce qui est prouvé par de nombreux scientifiques. Donc, je pose la question: qu'attend-t-on pour l'utiliser ?
J'ai demandé un rdv au centre Léon Bérard de Lyon pour obtenir un flash gamma hypophysaire de prévention. Réponse:" on n'a jamais fait ça, voyez avec votre médecin traitant ".
Je ne cite pas le nom de l'oncologue concerné bien enfermé dans le système. Un ami gynéco m'a confirmé le verrouillage.
Un grand Docteur, Laurent Schwartz, a dit " le cancer est une maladie simple du métabolisme et pas du génome "
Pourquoi s'acharner sciemment dans la mauvaise direction ?
Faudra-t-il porter plainte devant les tribunaux pour obtenir le traitement que nous voulons et pas les chimios et irradiations qu'on nous impose ?