Bonjour
Je suis tout à fait d’accord avec vous.
Je pousse mon mari depuis ses 50 ans à faire ce dosage🙏
Très belle journée à vous
Bonjour
Je suis tout à fait d’accord avec vous.
Je pousse mon mari depuis ses 50 ans à faire ce dosage🙏
Très belle journée à vous
Persévérez !
Ça peut faire peur bien sûr, mais il vaut vraiment mieux savoir. Un cancer débutant ou non agressif (gleason 6 par exemple) ne nécessitera pas forcément un traitement invasif et ses conséquences au moins temporaires pas très sympas, mais le seul fait de savoir vous fait entrer dans une surveillance médicale structurée, synonyme de sécurité et de réaction précoce aux conséquences limitées. Il suffit de demander à son généraliste de mesurer son PSA, après c’est une simple prise de sang annuelle qui ne nécessite même pas d’être à jeun. Rien de plus simple ! Et si le résultat est négatif - ce qui est le cas pour la majorité- on est tranquille.
Bonjour Barajda
Entièrement d'accord avec vous.
Je travaille en grande surface, et la plupart de mes collègues de plus de 50 ans ne connaissent pas le dosage PSA , pas plus que mon entourage.
C'est vraiment incroyable !
Et je suis sûr que la plupart d’entre eux ne savent pas vraiment ce qu’est la prostate, à quoi elle sert et où elle se situe !
Je ne fanfaronne pas sur le sujet, c’était mon cas avant d’être atteint par le cancer.
Comme c’est un organe largement méconnu et que ça n’existe pas mentalement pour la majorité des hommes, on ne pense même pas à demander le PSA. En ce qui me concerne, j’ai vraiment eu de la chance que mon généraliste y pense et demande ce test pour moi, sinon, je serai passé entre les mailles du filet et je me serai retrouvé avec un cancer évolué et impossible à éliminer dans 5 ou 6 ans, avec des traitements beaucoup plus lourds et des conséquences autrement difficiles à gérer. Mon médecin a en quelque sorte organisé le dépistage systématique pour moi, mais j’ai eu de la chance de tomber sur lui, car tous ne le font pas.
Moi, j’ai eu la chance aussi que mon ancien médecin, aujourd’hui à la retraite, me fasse un dosage PSA à mes 50 ans sans même me le demander. À l’époque, je ne savais même pas ce que c’était.
C’est ainsi qu’il a découvert un adénome prostatique, ce qui a conduit à un suivi annuel. Quatre ans plus tard, ce fichu cancer est apparu. Sans ce médecin, je ne l’aurais peut-être jamais su si vite .....
Je te rejoins à 100 % tout comme toi je fais de la pub autour de moi pour éveiller les conscience. Cancer prostate diagnostiqué à 51 ans et prostatectomie totale (opéré en septembre 2023). J'ai 53 ans maintenant et je reprends tranquillement le cours de ma vie.
Avec des petits désagréments qui disparaissent petit à petit. (Fuite urinaire uniquement à l'effort et quand je suis fort fatigué. Érection qui ont repris assez correctement et qui s'améliore toujours et encore.
Comme je le disais plus haut : je fais de la pub autour de moi pour éveiller les conscience.
D'autant plus que je pense à mon père qui lui a été diagnostiqué à 53 ans en phase très avancée (métastase colonne vertébrale et prostate inopérable. Il est décédé à 58 ans)
Alors oui je ne comprends pas comment et pourquoi on n'en parle pas plus.
Je crois surtout que la réputation d'évolution lente pour ce type de cancer fait qu'on n'est pas vraiment en état d'alerte.
On fait miroiter aux hommes en général qu'il est possible de contrôler ce cancer et que l'on mourra d'autre chose. Mais c'est bien plus complexe que cela.
Je ne peux que répéter moi aussi que plus tôt on détecte le cancer plus grand sera l'arsenal thérapeutique et plus les chances de survies seront élevées.
Bonjour zezinho
J'ai lu plusieurs de tes posts, et ton parcours ressemble beaucoup au mien. Si je me souviens bien, ta lésion était du côté droit et la bandelette gauche a été préservée. C'est exactement mon cas également. Cela fait cinq mois depuis mon opération et je n'ai plus aucune fuite urinaire, même à l'effort, et ce, seulement trois semaines après l'intervention. Par contre, c'est un peu plus compliqué pour les érections.
C'est pour cela que j'aimerais suivre ton parcours, si tu es d'accord bien sûr.
Salut Ychou,
Avec plaisir cela ne me dérange pas du tout de partager.
Ce 29 mars cela fera 18 mois que j'ai été opéré.
Par rapport à toi les fuites urinaires j'en ai toujours. Elles ont quasiment toujours été lié à l'effort. Sauf les premières semaines.
Je dois avouer que je n'ai pas été le plus acharné en terme d'exercice. Mais j'ai tout de même fait 80 séance de kiné.
Je fait 1m80 (poids de forme avec tablette de chocolat à 84 kg) Je suis donc quelqu'un de constitution lourde au départ.
Avant opération j'étais à 110 kg et suis monté à 119kg.
Pourquoi je parle de poids car je sais que le surpoids joue un grand rôle sur l'incontinence et surtout les fuites à l'effort. Là en ce moment j'ai commencé un régime je suis déjà redescendu à 111kg en 1 mois 1/2 et mon objectif est d'atteindre les 95 kg pour juin.
A ce moment je ferai le point sur mes fuites à l'effort. Mais je suis intimement persuadé que mon surpoids est la raison principale de ses fuites à l'effort.
Sinon parlons érection. C'est je pense ce qui t'intéresse le plus LOL.
Et bien après 18 mois je ne dois pas me plaindre. Ca revient pas comme avant mais ça revient et la progression continue.
Concrètement de 0 à 3 mois rien du tout. La seule chose qui te rassure un poil. C'est que malgré que tu n'aies pas d'érection tu arrives quand même à avoir des orgasmes en stimulant le gland. A ce moment là tu te dis bah au moins c'est déjà cela LOL.
Après comment dire j'ai gardé un certaine motivation et de 3 mois à 1 an. Je me suis masturbé régulièrement car j'avais le sentiment qu'en stimulant régulièrement mon pénis cela accélérerait le processus de guérison ou si tu préfères le retour des érections.
J'ai commencé par avoir mois après mois des érections moins molles.
Après 1 an et 3 mois pas d'érection spontanées mais si je stimule le pénis l'érection arrive pas molle mais pas dur comme du béton non plus LOL.
Entre 1an 3 mois et maintenant. Érection toujours en évolution et je commence à avoir des débuts d'érection rien que par la pensée ou le visuel.
En plein excitation le pénis est à son meilleur. C'est au moment de l'orgasme que tu constate que tu ne tiens pas l'érection comme avant. Le pénis se ramollit plus rapidement. Pour la pénétration je dirai que ce serait possible. Néanmoins au stade où j'en suis un rien fait que ton pénis ramollit au moindre ralentissement.
Mais voilà c'est comme ça et il ne faut pas y penser pour que cela ne devienne pas un levier psychologique qui te freinerait. Faut surtout bien en parler avec ta partenaire qui si je peux le dire ainsi prendra les choses en main en te stimulant un peu plus et au pire il y d'autre plaisir comme la fellation à défaut de faire une pénétration.
Pour la blague pas mal d'homme sans problème d'érection n'ont pas la chance d'avoir des fellation de leur partenaire.
En résumé : ce que je peux te dire de mon expérience c'est que cela revient progressivement et qui'l faut se focaliser l'esprit sur le plaisir et pas sur la crainte de perdre ton érection.
Pour le dopage Cialis ou Viagra.
Le cialis me donne mal à la tête et j'ai plein de courbature. Tandis que le viagra j'ai le nez qui coule et de l'aigreur (reflux gastrique)
J'ai donc fini par n'utiliser que le Viagra.
Au final je dirai que cela m'a aidé quand j'étais dans la phase 6 mois à 1an & 3 mois.
Là maintenant je ne suis pas toujours hyper convaincu et il m'arrive de ne pas le prendre 1 fois sur 2 histoire aussi de voir la différence.
Autre chose j'ai commencé à diminué ma masturbation (pour rappel que je faisais pour stimuler les nerfs érectile) car j'ai constaté que j'étais moins performant.
D'ailleurs c'est très simple si avec ma partenaire je recommence le lendemain c'est pas sensationnel niveau érection.
Patience patience, stimulation et dialogue avec son partenaire son je pense les clés d'un retour à une quasi normalité.
Finissons pas un point positif. Même si l'éjaculation peut nous manquer lors de l'orgasme.
On peut aussi dire que sa qualité et son intensité s'est amélioré.
J'ai le sentiment que comme il n'y a plus d'éjaculation l'orgasme prend plus de temps à tomber et donc forcément l'intensité est plus forte.
Et ça c'est quand même pas mal.
Voilà j'espère que mon partage te donne la force de continuer ton propre chemin.
Bonjour zezinho Un grand merci à toi pour c est explication c est vraiment sympa 👍 Comme je te les dit je suis a cinq mois de l opération et je prends du tadalafil 5 mg tout les soirs et tout les soirs aussi j utilise la pompe à varrium pour provoquer une érection avant de me coucher ses ma petite réduction personnel lol du coup le tadalafil me provoque une verge dur a la base pas de rigidité et sans excitation la masturbation me provoque des tumescences a l orgasme aussi j ai essayé le vitaros et l edex ça marche par contre j ai arrêté trop de douleur qui gâche tout sinon oui l orgasme sans éjaculation et plus intense pour moi aussi j adore lol je revois mon urologue le 14 mai pour un contrôle je vais lui demander tadalafil 10 ou 20 pour essayer sinon mon PSA après intervention a un mois était a 0.03 je verrai bien la prochaine 🤞 sinon j ai 56 ans je fais 1m87 et 82 kg non fumeur Et sportif merci a toi a bientôt 😊
Je pense que tu es sur Le bon chemin et tu dois juste etre patient. Car c'est lent mais cela revient.
Oui moi aussi ancien sportif.
Mais il n'y a plus que ancien le sportif est un peu loin hahaha.
53 ans, non fumeur et ancien basketteur. Donc je sais c3 que je dois faire pour perdre du poids sur la balance.
Bonne continuation
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Comme je pense la plupart de ceux qui sont passés par cette épreuve, je ne comprends pas l’absence de dépistage organisé du cancer de la prostate après 50 ans, même pour ceux qui ont des antécédents familiaux. Il s’agit quand même du cancer le plus fréquent chez l’homme. Je ne comprends pas l’argument souvent avancé du « sur traitement » et de ses conséquences induites. On a aujourd’hui un arsenal thérapeutique suffisant pour classifier le cancer et pour agir en conséquence, de façon modulée selon la gravité, et selon l’âge. Or, il y a un vrai intérêt à agir le plus tôt possible lorsque c’est détecté, avant que ça ne sorte de la capsule pour avoir une intervention la plus conservatrice possible et avant, bien sûr, que ça ne métastase. Pour ma part, je conseille à tous les hommes que je connais qui ont passé 50 ans de doser leur PSA et de surveiller ça. Et je pense que tous sont assez réceptifs à ce conseil. C’est d’autant plus nécessaire qu’il s’agit d’un organe largement méconnu: moi le premier, avant d’être atteint par le cancer, je ne savais pas vraiment ce qu’était la prostate ni où elle se situait et je dois à mon généraliste- merci à lui- d’avoir réalisé un dosage de PSA. Aujourd’hui, je suis bien content d’avoir pris les devants plutôt que de me retrouver dans 5 ou 6 ans avec un cancer évolué et incurable. . Bref, je pense que les pouvoirs publics devraient agir et mettre en place un dépistage organisé.